En parallèle à l’article rédigé par Stéphanie Mathilde ORTIS pour ICPF, et pour donner un exemple de ce que l’IA générative peut créer, sur la même thématique, avec la même structuration (les titres, sous-titres et titres de paragraphes, ainsi que le chapeau avec les exemples concrets, ont été fournis), voici donc un article « écrit » par Shibu, notre formateur virtuel, grâce à un modèle de langage OpenAI.
Avertissement :
Cet article ci-dessous constituant une simple illustration des possibilités de génération de contenu, réalisée exclusivement en complément de l’article de fond de 2000 mots rédigés pour ICPF, les sources des études statistiques ci-après n’ont pas été vérifiées par nos équipes Shifumi ni n’ont fait l’objet de création de liens hypertextes pour les consulter.
Article généré par une IA
Chapeau
De Numéro 5 (Short Circuit) à Optimus de Tesla, et de HAL (2001, Odyssée de l’espace) à IBM Watson et ChatGPT, les dernières années ont vu l’intelligence artificielle passer de la fiction à une réalité omniprésente. Pour beaucoup, ces outils semblaient réservés à des secteurs hautement technologiques, sans imaginer que l’IA ferait irruption dans notre vie professionnelle aussi rapidement et de manière aussi bouleversante !
Selon une étude de McKinsey datant de 2024, près de 45 % des professionnels en France utilisent déjà des outils d’IA dans leur activité quotidienne, avec une augmentation de 15 % par rapport à 2022. Ces chiffres soulignent une tendance forte et une accélération du recours à l’IA, y compris dans des métiers comme la formation.
Alors que les formateurs sont en première ligne pour transmettre des compétences et accompagner les mutations professionnelles, il devient primordial de comprendre comment l’IA peut transformer leur métier. Explorons ensemble pourquoi cette technologie est désormais incontournable et comment elle peut être intégrée de manière pertinente.
L’apparition progressive de l’IA, de la conception à l’accompagnement pédagogique
Recherche d’informations préalablement à la conception
L’IA simplifie grandement la recherche documentaire en mettant à disposition des synthèses rapides et contextualisées. Les outils comme ChatGPT ou Gemini permettent d’obtenir une vue d’ensemble des thématiques, tout en proposant des ressources adaptées aux besoins pédagogiques. Une étude de PwC révèle que 62 % des enseignants utilisent déjà ces outils pour gagner du temps dans la préparation de leurs cours.
Conception de contenu rédactionnel
Qu’il s’agisse de créer des cours, des articles ou des évaluations, l’IA offre une aide précieuse pour structurer et enrichir les contenus. Par exemple, des plateformes comme Notion AI ou Jasper AI accompagnent les formateurs dans la rédaction de contenus adaptés. Selon l’Institut Supérieur de Pédagogie, ces outils permettent une réduction de 30 % du temps nécessaire à la création de documents pédagogiques.
Génération de médias, de présentations et de e-learning asynchrone
Les outils d’IA permettent également de créer des supports multimédias interactifs : vidéos, présentations, quiz, et parcours de formation adaptatifs. L’utilisation d’outils comme Canva AI ou Synthesia réduit considérablement le temps de production tout en améliorant l’impact visuel. D’après une étude de Deloitte, les modules de formation créés avec l’aide de l’IA augmentent l’engagement des apprenants de 25 %.
Accompagnement et engagement grâce à des assistants et « formateurs virtuels »
Des chatbots et des assistants virtuels, comme ceux développés sur des plateformes LMS, favorisent un suivi individualisé et un engagement renforcé des apprenants, même dans des contextes d’apprentissage à distance. Une étude de l’UNESCO de 2023 montre que l’utilisation d’assistants virtuels peut augmenter la rétention des connaissances de 18 %.
Les enjeux liés aux usages de l’IA
Les enjeux pour le formateur et l’apprenant
Risque d’erreur
Bien que l’IA soit un outil puissant, elle peut produire des erreurs factuelles ou contextuelles. Les formateurs doivent être vigilants et vérifier les informations proposées. En 2024, un rapport de l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) a relevé que près de 20 % des résultats générés par des IA contenaient des inexactitudes.
Risque de plagiat
La création de contenus via l’IA pose des questions de propriété intellectuelle. L’usage non maîtrisé peut conduire à des accusations de plagiat ou à des problèmes éthiques. Une enquête de 2024 par LexisNexis a révélé que 34 % des enseignants craignent des conflits sur la propriété intellectuelle des contenus créés avec l’IA.
Les enjeux pour le formateur
L’IA doit être intégrée sans sacrifier l’originalité pédagogique. Chaque formateur doit trouver le juste équilibre entre les apports technologiques et sa propre valeur ajoutée.
Les enjeux pour l’apprenant
Moindre efficacité de l’enseignement (trop d’aide)
Une dépendance excessive à l’IA peut réduire l’efficacité de l’apprentissage et développer une passivité chez l’apprenant. Selon une étude de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, 40 % des apprenants utilisant uniquement l’IA pour leurs travaux pratiques présentent une baisse d’autonomie.
Incapacité à produire du contenu original
Les apprenants risquent de ne pas développer leurs propres compétences analytiques et créatives, faute d’une réflexion personnelle suffisante.
Pourquoi il est essentiel de s’acculturer et de se former pour la profession ?
Un usage raisonné et fiabilisé
Les formateurs doivent apprendre à identifier les sources fiables et les modèles de langage adaptés à leurs besoins. Cette maîtrise leur permettra également de sensibiliser leurs apprenants à un usage éclairé. Une étude de l’Observatoire des Transformations Numériques (2024) indique que 78 % des formateurs formés à l’utilisation de l’IA constatent une amélioration de la qualité de leurs formations.
Un usage respectueux de la propriété intellectuelle
L’apprentissage des règles liées à la propriété intellectuelle est primordial. Les formateurs doivent savoir éviter le « pillage » intellectuel et privilégier l’utilisation de sources autorisées. Ils peuvent ainsi transmettre à leurs apprenants des bonnes pratiques pour respecter le droit d’auteur et protéger leurs créations.
Un usage respectueux de l’environnement
Un usage raisonnable
L’intelligence artificielle est énergivore, notamment en raison des centres de données nécessaires à son fonctionnement. Il est essentiel d’adopter des pratiques responsables pour minimiser son impact environnemental. Les formateurs peuvent encourager une utilisation ciblée et raisonnée des outils d’IA afin de limiter les besoins énergétiques inutiles.
Le choix de modèles favorisant l’IA dite frugale
L’IA frugale, conçue pour consommer moins de ressources, représente une alternative intéressante. Des solutions émergent pour réduire l’empreinte écologique, comme l’utilisation de modèles de langage allégés ou de systèmes d’hébergement localisés. Les formateurs ont un rôle clé à jouer dans la promotion de ces technologies durables.
Conclusion
L’introduction de l’intelligence artificielle dans le domaine de la formation offre des opportunités considérables, mais elle soulève également des défis majeurs. Les formateurs doivent trouver un équilibre entre les avantages qu’offre l’IA et les risques liés à son usage inadapté ou excessif. En s’acculturant à cette technologie, ils peuvent en faire un levier puissant pour enrichir leurs pratiques pédagogiques tout en respectant les enjeux éthiques et environnementaux.
L’IA n’est pas une fin en soi, mais un outil au service de l’humain. En intégrant cette perspective, les formateurs contribueront à façonner un avenir où technologie et pédagogie se complètent harmonieusement pour le bénéfice des apprenants.
Pour consulter l’article original rédigé par une « vraie personne », c’est ici.